L'éolien : des relevés dans le vent pour TTGE
Le saviez-vous ?
La durée de vie moyenne d’une éolienne est de 20 à 30 ans. Avant d’attendre leur fin de vie certains parcs éoliens sont toutefois démantelés pour remplacer d’anciennes machines par des turbines plus puissantes et plus productives. On appelle cela le repowering.
Booster la production d’électricité verte
Plus silencieuses les nouvelles générations d’éoliennes répondent mieux aux exigences actuelles du marché et en pleine crise énergétique dynamiser l’éolien répond à une orientation énergétique stratégique avec un objectif de 40Gigawatts d’ici 2050.
En Normandie, le parc éolien de Fécamp répond à cette orientation et sera mis en service à l’horizon 2023 par un consortium piloté par EDF Renouvelables.
La prise en compte des enjeux locaux s’est établie sur la base d’un dialogue pour respecter leurs activités, tout comme avec les communes avoisinantes pour une bonne prise en compte paysagère du projet.
TTGE : un intervenant déterminant
L'ascension des énergies renouvelables, renforce la position de TTGE sur les sites éoliens et photovoltaïques au crédit notamment de sa démarche RSE. Mandatée par EDF Renouvelables c’est l’équipe de TTGE 94 qui procède actuellement aux relevés de 4 repowering en Normandie. Valentin DEBOURNOUX Géomètre-Expert de notre agence de Vitry/Seine témoigne :
" Nous sommes intervenus sur 4 sites différents, sur les communes de Fécamp, Saint-Martin-en-Besace, Saint-Pierre-Canivet et Monts-sur-Orne. Une de nos équipes, composée de deux techniciens, a pu effectuer des relevés traditionnels sur une emprise environnant les 100 hectares, dans un délai incompressible d’une semaine !
En effet, outre la superficie de l’emprise à relever, plusieurs facteurs environnementaux autour du parc éolien sont à prendre en considération dans notre méthode de réflexion et d’opération, notamment concernant la végétation et les potentiels obstacles concernant le montage/démontage des turbines.
Afin d’acheminer les composantes des éoliennes, comme les différentes parties du mat, ou les pales, qui peuvent atteindre une longueur de 40 à 60 mètres, les différents convois doivent adapter leur trajet et leurs manœuvres afin d’éviter toute collision entre les pièces et les potentiels obstacles.
Lever les obstacles
De ce fait, nous avons étudié les différents modes de transports de ces éléments, soit par un remorquage utilisant toute la longueur de la pièce, soit par un mécanisme spécifique permettant de gérer l’orientation de la pièce afin de contourner les obstacles.
Il convenait donc de tenir compte et de mesurer le rayon de giration nécessaire à chaque virage du convoi, autrement dit, l’emprise du virage réalisé par le camion, ainsi que de relever l’altitude des potentiels obstacles, c’est-à-dire la végétation (arbres, arbustes, buissons, …), et l’environnement bâti (poteaux, habitations, installations électriques, …) présents tout au long de la route menant au site éolien.
Avec plus de 100 affaires autour de l’éolien et du photovoltaïque à notre actif ainsi que mes précédentes expériences professionnelles dans le domaine des énergies renouvelables, c’est grâce à notre savoir-faire, à nos connaissances en la matière et grâce à notre équipe, que notre client nous a fait confiance dans la réalisation de ce relevé".